Comines

Circuit des Tilleuls

Circuit réalisé avec le concours de la ville de Comines et du Comité Départemental de la Randonnée Pédestre
Jolie balade à travers les champs séparés de haies bocagères et bordés de becques. Le circuit de tilleuls se finit par le chemin de halage, où, selon la saison, on peut observer de multiples variétés de plantes sauvages et d’oiseaux, sédentaires ou migrateurs

Profil et coordonnées du circuit:
Circuit des Tilleuls - Comines
Le parcours du circuit =  10 km - 3h
Alt mini =  12 m - Alt maxi =  20 m
Dénivelé positif =  11 m - Dénivelé négatif =  11 m
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Départ de la gare - Comines
Longitude = 3°00'33,95" E
Latitude = 50°45'39,26" N
Altitude =  18 métres
Votre itinéraire jusqu'au point départ

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Pont de Comines

Circuit des Tilleuls

Départ : Comines, place de la gare

1 Face à la gare, partez à gauche puis deux fois à droite. Tournez à gauche rue de l’Apothicaire puis à droite, rue de la Gendarmerie. Au bout, empruntez la rue de Flandre avant de prendre à droite la rue Jean de la Fontaine et, à son extrémité, à gauche, la rue Molière.

2 Bifurquez à gauche sur un petit sentier qui passe sous le pont et longe la voie ferrée. Traversez la voie ferrée et suivez la route. La première route à droite vous emmène à un carrefour.

3 Poursuivez en face jusqu’à un croisement ; par un crochet droite/ gauche, suivez le chemin de la Rouge Porte. Partez ensuite à gauche et, à l’intersection suivante, virez à droite jusqu’à un petit chemin de terre.

4 Empruntez ce chemin à droite, le long d’une petite becque. A la ferme, un chemin caillouteux à droite vous ramène à une petite route. Partez à gauche jusqu’au chemin du Hel. Allez à gauche et passez devant la ferme du Hel, avec son porche remarquable et la chapelle dédiée à l’Immaculée Conception.

5 Contournez le rond-point par la gauche pour prendre en face le chemin du rivage (prudence en traversant) ; le chemin effectue un coude à droite. 200 m plus loin, engagez vous sur le chemin à gauche qui mène au chemin de halage du canal de la Lys (passez sur le côté les grilles).

6 Après la passerelle, suivez la Lys par la droite. Vous vous en écartez un moment, en suivant un bras mort, pour la rejoindre plus tard à la hauteur d’une écluse, en traversant l’îlot. Poursuivez sur le chemin de halage jusqu’aux abords de l’ancien port fluvial. Au pont frontalier, partez à droite vers la ville et retrouver le point de départ.

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Site Web de la ville
Comines

Aux environs de l’an mille naissent la seigneurie de Comines, fief du comté de Flandre, et une dynastie de chevaliers d’ordre militaire et chrétien.
Au Moyen-âge Comines a pour principales activités économiques : la draperie et le commerce... [Lire la suite]
A la fin du XIVème siècle, la seigneurie de Comines devient le fief de la famille de la Clyte, famille de l’illustre chroniqueur Philippe de Commynes. A la fin du XVème siècle Jean, seigneur d’Halluin, devient seigneur de Comines avant que la seigneurie ne soit transmise à la famille de Cröy au XVIème siècle, Comines était alors le chef lieu du Quartier du Ferrain.
Au XVIème siècle, Comines fait partie des Pays-Bas espagnols. Les guerres de religion au cours de ce siècle, puis les guerres d’annexion de Louis XIV au XVIIème siècle, font subir de nombreux aléas et souffrances à Comines avant qu’elle ne devienne « Comines la Jolie » et que la rubanerie ne se modernise au XVIII ème siècle.
Reconstruite après la 1ère guerre mondiale essentiellement dans le style régional, néo flamand, Comines France a conservé son beffroi et ses traditions, notamment la fête des Louches. Aujourd'hui, la Lys est le lien entre les deux cités. Comines France et Comines Belgique ont appris à vivre au même rythme et poursuivent ensemble des actions de développement, grâce à une cohabitation facilitée par l’ouverture des frontières européennes.
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Patrimoine religieux
Eglise St Chrysole

L’église est sévèrement touchée par les combats de la Première Guerre mondiale. Elle est reconstruite entre 1922 et 1938 quasiment à son emplacement d’origine par l’architecte Maurice Storez, assisté de Dom Paul BELLOT, dans un style néo-byzantin et en employant des techniques innovantes pour l’époque : l’emploi du béton a permis de créer de grands volumes et de larges ouvertures, sans pour cela avoir à construire de contreforts ou d’arcboutants. Reconnue en 1995 par la Commission Européenne au titre des bâtiments cultuels, elle est inscrite à « l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques » en 2001 avant d’être classée Monument Historique en 2002.
Les différents diagnostics réalisés sur l’église ont révélé des signes de détérioration sur ses enrobages béton (la carbonatation) et de gros désordres d’étanchéité, notamment sur les zones en carreaux émaillés. L’ensemble des travaux comprendra maçonnerie, menuiseries, métallerie, peinture, vitraux et électricité. Ces interventions permettront la restauration des structures majeures du bâtiment et lui redonneront son aspect tant intérieur qu’extérieur initial. Les travaux ont débuté en juillet 2011 et se dérouleront en 5 phases distinctes réparties sur trois ans, pour un coût avoisinant 5 400 000 euros


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